Et encore Antigone…

Publié le par Sofia H.

 

I- Antigone par 3ème1…



Antigone la classique…


Hier, à midi, a eu lieu, au théâtre du Lycée Français de Coyoacan, la représentation théâtrale du célèbre mythe grecque d'Antigone. Interprétée dans le contexte de la Grèce antique, les élèves se sont basés sur les textes de la pièce de même nom écrite par Jean Anouilh.


Une ambiance antique

La pièce (et donc le scénario) fut située à Thèbes, ville grecque qui se trouve, selon le contexte de la mise en scène, en toute sa splendeur. Les hautes colonnes en marbre du palais de Créon entouraient la scène et de nombreux tapis multicolores couvraient le sol ainsi que quelques coussins et accessoires de poterie fine dans les coins. Pour les costumes, le choix fut très simple: Il n'ont suffit que quelques draps blancs en guise de toges pour que les personnages soient tout de suite associés aux habitants de la Grèce antique. Par contre, on pouvait remarquer que la tenue du personnage d'Antigone se différenciait des autres grâce à sa couleur marron. L'illumination fut, pendant toute la pièce, très claire et agréable.


En conclusion, et malgré l'utilisation des dialogues de J. Anouilh, cette représentation avait pour objectif rester plus fidèle à l'Antigone traditionnelle, à la toute première des Antigones, à celle de Sofocles… 


Pour L'expression du Théâtre, Sofia H.

Mexico D.F.,Samedi 13 Février 2010

 

 

 

I- Antigone par 3ème2…


Une nouvelle Antigone

Hier, à midi, a eu lieu la représentation théâtrale du célèbre mythe d'Antigone, au Lycée Français de Coyoacan. Basés sur la pièce écrite par Jean Anouilh, les élèves de la 3ème2 ont cherché à mettre en scène cette oeuvre dans un contexte plus récent et original: La France des années 40's.


Il faut résister avant tout…
L'action fut située dans la France pendant l'occupation allemande: la vie est dure et une ambiance assez triste enveloppe les personnages. La musique du font y contribuait. Le décor était neutre, les costumes des personnages noirs. Mais parmi toute cette mélancolie, Antigone apparut habillée tout en blanc, signe de l'espérance et de la justice.


Le choix de cette mise en scène reste bien plus fidèle à la représentation imaginée par J. Anouilh, qui lui cherche à pouvoir "généraliser" cette situation, cette lutte pour la vérité et la justice avant tout. Et finalement pouvoir l'utiliser comme une espèce d'engagement, de critique vers la société, vers le peuple français soumis par le régime nazi…


Pour L'Expression du Théâtre, Sofia H.
Samedi 13 Février 2010
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